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http://www.disclose.tv/action/viewvideo/231284/true_evil_has_a_name_and_it_is_george_soros/

A 3’57 », tout est dit qui explique la difficulté (logique et évidente) dans laquelle est plongée le monde et, dans le cadre des pratiques actuelles, son caractère irrémédiable.

Georges Soros « mon travail consiste à faire de l’argent. Je ne me soucie pas des conséquences sociales. »

Le management de haut niveau est empreint de comportements similaires à de la psychopathie https://fr.wikipedia.org/wiki/Psychopathie et à de la sociopathie https://fr.wikipedia.org/wiki/Trouble_de_la_personnalit%C3%A9_antisociale. En admettant que ces gens ne soient pas des psychopathes, leur métier les amène à le devenir ou à se comporter comme tels.

https://www.georgesoros.com/ " George Soros has been a prominent international supporter of democratic ideals and causes for more than 30 years. His philanthropic organization, the Open Society Foundations, supports democracy and human rights in more than 100 countries."

Il me semble, pour ne pas écrire que je suis convaincu, qu’il y ait une contradiction profonde voire un comportement schizophrénique entre l’activité professionnelle et l’activité philanthropique de ce genre de personne. Rien ne semble spontané, tout est calculé.

Apporte-t-il moins à l’Humanité par son business que par son action « philanthropique » ? Quel écart y a t il entre son intérêt personnel et l’intérêt général ? Peut-on parler de compensation ? Que reste-t-il pour l’action des responsables politiques ? Quel est l’intérêt d’un vote pour l’exercice d’un pouvoir qui n’a pas tous les leviers ?

Les responsables politiques ne peuvent pas lutter contre les mouvements rapides de capitaux considérables décidés pour des raisons purement financières. Les mouvements sont brutaux, les conséquences sont durables. Ils pourraient lutter contre les hommes et les femmes qui décident ces mouvements sans rendre des comptes devant les citoyens et, en l’occurrence, les salariés. Ils ne le font pas. Ils sont contraints à en gérer les conséquences. Je continue à préférer un monopole d’Etat à un monopole privé car les responsables sont plus faciles à contrôler,  à désigner et à mettre en cause. JSCOB… ?

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