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http://www.hbrfrance.fr/chroniques-experts/2017/02/14489-conduite-changement-6-conseils-eviter-saturation-de-vos-collaborateurs/

Cet article est rédigé par un spécialiste de la conduite du changement. Il le serait depuis 25 ans… A lire.

La conduite du changement devrait être dans l’ADN du manager. Le changement nécessite une connaissance intime de l’entreprise, à l’image de l’ancien médecin de famille. Le patron est à la manoeuvre.

Quelle est la nature du changement ? On ne parle pas d’évolution normale, liée au temps et aux contraintes extérieures. L’entreprise doit être naturellement organisée et managée pour conduire ce type de « changement ».

L’article mélange allègrement transformation, évolution, restructuration, réorganisation,… Si un article présentant une approche générique est aussi imprécis, il ne faut pas s’étonner que les salariés vivent mal le changement. Il y a la théorie du changement PUIS ses déclinaisons, notamment en entreprise mais aussi dans l’administration.

Mettre en point 4 « impliquer le management » alors que le changement est avant tout une affaire de management et de « chef », c’est désigner les salariés responsables de l’échec ou des difficultés. Le rôle du manager n’est pas juste de décider le changement puis de dire « la décision est prise (pour ma part), il faut la mettre en oeuvre, débrouillez-vous ». J’ai toujours lutté dans mon boulot d’avant contre cela.

« Car l’immobilisme est aussi préoccupant que la saturation face au changement » : voilà un lieu commun. Un animal qui a peur est paralysé ou devient agressif. Il y a une dimension psychologique qui n’est pas du tout abordée. Or le changement, c’est 80% de COM.

Enfin, le pompon, presque de l’humour au deuxième degré ? : « Avez-vous dans votre tableau de bord un indicateur sur la capacité ou non de l’organisation à absorber les changements ? » On sait désormais la conception qu’a ce spécialiste du management. JSCOB…?

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