Toute l’organisation humaine impliquée dans ce process est impactée de la naissance à la mort de chacun de ses éléments, dans toutes ses activités. Seules les peuplades qui échappent au « Progrès » piloté par l’économie de marché sont dans un cercle vertueux, celui proposé par la nature, le cas échéant aidée par l’homme (culture, élevage). Mais l’homme n’est pas raisonnable, hormis les peuplades « primitives ». Je ne dis pas qu’il faut retourner à l’âge de pierre. Je souligne juste qu’on ne peut pas être « performant » et raisonnable.
Un système ne peut pas se transformer en ne le faisant que de l’intérieur si la finalité reste la même. Si la finalité devient : il ne faut pas provoquer artificiellement un cataclysme écologique, on ne remettra pas en cause nos comportements, mais juste les excès de nos comportements. Ce sera insuffisant car gageons que notre « comportement » ne peut que s’étendre à l’ensemble de la planète, hormis quelques irréductibles tribus. Il ne sera pas possible de boucler le cercle sur un comportement que nous croyons vertueux. Nous n’avons jamais eu aussi besoin de la politique mais… faut-il s’étonner par exemple d’un retour de la religion ? JSCOB…?