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Le vivant survit dans les champs matériels, dans un environnement initialement hostile. L’homme a conscience de son existence et de sa fragilité. Il se bat et s’adapte. Dans les champs immatériels, son réflexe de survie est la spiritualité.

Il cherche à se dégager de la contrainte matérielle en s’élevant. Il se donne un créateur. Ce faisant, il veut se placer en acteur de son destin. Il ne serait pas là par hasard. Il ne peut pas disparaître par hasard. Cela n’aurait pas de « sens ». Est-il question de sens ? Notre existence a-t-elle un sens ? Est-ce une question pertinente ?

Si le vivant est pertinent, pourquoi et pour quoi existons-nous ? Parce que notre existence est dans l’ordre des choses, d’évènements qui sont très majoritairement sans rapport avec notre existence. C’est un constat qui vaut une explication. Notre création ne trouve pas son explication dans la nuit des temps. Elle est très récente. Le non vivant règne.

Nous sommes une expression particulière de l’ADN qui concerne tout le vivant, pas seulement l’être humain. L’ADN est une molécule. Ce n’est pas du « vivant ».Mécanique relativiste et mécanique quantique nous ont fait comprendre que nous sommes loin d’appréhender la complexité de notre environnement, même pour les plus intelligents d’entre nous. Il faut passer par des approches contre intuitives pour comprendre la complexité qui nous entoure. Le contre intuitif n’est pas dans notre ADN. N’est-il pas possible qu’il faille passer par la même méthode pour nous comprendre nous-même complètement s’agissant de notre origine et de notre intelligence ? JSCOB…?

Nota : la photo en illustration montre du « vivant synthétique » ce qui paraît contradictoire pour un ignorant comme moi.

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