Le doute est une valeur essentielle. Il n’empêche pas d’avancer. Le doute n’est pas l’indécision. Le doute est une facette de l’approche scientifique.
Le questionnement est le complément du doute. Il doit lui être consubstantiel.
Le questionnement permet d’étendre le champ de ses connaissances… et de ses doutes qui conduisent à de nouvelles questions. La quête de vérité est d’abord une progression dans le questionnement. Les questions appellent des réponses qui repoussent les limites de l’obscurantisme.
Atteindrons-nous un jour la lumière ? Nombre d’entre nous l’appelleraient depuis longtemps Dieu. Présentés ainsi, Dieu et obscurantisme paraissent proches.
Pour ma part, je pense qu’au delà de l’obscurité… il y a l’obscurité. L’obscurantisme a donc encore de beaux jours. En revanche, grâce au questionnement perpétuellement renouvelé, la superficie de notre territoire éclairé ne fait que croître. Plus nous apportons de réponses à nos questions, plus nous comprenons notre environnement, plus notre existence a du sens. JSCOB… ?