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https://www.youtube.com/watch?v=hn1evphLR1o Yann Moix demande de la prison ferme pour les étudiants "antisémites" de Science Po.

Le problème avec ce qu'est devenue la définition "admise" de l'antisémitisme, est que le débat n'est plus possible. On sait qui en sortira vainqueur.

Même l'humour n'est plus possible, sauf de la part d'un juif, ce qui semble paradoxal puisque seule la nature du propos qualifie celui qui le tient.

Définition "officielle" qui n'apparaît pas dans le Code pénal : "Perception des juifs pouvant s'exprimer par de la haine à leur égard. Les manifestations rhétoriques et physiques de l'antisémitisme sont dirigées contre des individus juifs ou non-juifs et/ou de leurs biens, contre les institutions de la communauté juive et contre les institutions religieuses juives (définition de l'IHRA approuvée le 3 décembre 2019 par l'Assemblée nationale et le 5 octobre 2021 par le Sénat).

Tout propos tenu "contre" serait donc systématiquement considéré comme haineux. Le débat est donc impossible.

Même chose pour le terrorisme, sauf qu'il bénéficie d'une définition au sens juridique : Code pénal - Article 421-1 Modifié par LOI n° 2016-819 du 21 juin 2016 - art. 1

"Constituent des actes de terrorisme, lorsqu'elles sont intentionnellement en relation avec une entreprise individuelle ou collective ayant pour but de troubler gravement l'ordre public par l'intimidation ou la terreur."

En résumé, le terroriste terrorise. La limite à ne pas franchir serait donc clairement établie. Il vaut mieux être du côté de ceux qui désignent les "terroristes". JSCOB...?

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