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« L’objectif » d’une espèce est la survie. Prédatrice, elle se nourrit des autres tout en défendant un territoire, son terrain de chasse. Proie, elle développe des techniques de protection et elle se reproduit en nombre, privilégiant la quantité.

L’espèce humaine aurait pu faire partie des proies. Elle est devenue le pire des prédateurs. Elle ne se satisfait pas d’assurer sa survie. Comme d’autres prédateurs tuent pour le plaisir ou pour assurer leur domination, l’espèce humaine nuit à sa propre existence. Elle exploite son environnement et ses semblables sans chercher à ne satisfaire que son « juste » besoin. La justesse est une notion élastique.

La nature se régule « naturellement » en maintenant vaille que vaille des équilibres. Les espèces apparaissent et disparaissent dans ce grand laboratoire qu’est notre planète. L’homme, par son attitude, échappe à cette loi naturelle. Son impact est beaucoup plus immédiat et général que la nature n’est capable de le corriger. D’ailleurs, elle ne corrige pas : elle sanctionne par effet induit. Les conditions de vie se dégradent. Nature et Humanité vont au résultat.

A l’échelle de l’Univers, au vu de choses observées inexpliquées, il y a une théorie qui suppose l’existence d’une civilisation hyperavancée dont l’activité impacterait l’Univers lui même.

Il existe un ordre naturel des choses. L’homme a créé un ordre artificiel mondial : l’ordre économique. La motivation de la prédation n’est plus la survie, mais l’argent. L’argent détourne l’attention et l’intelligence de ce qui devrait rester leur cible : la survie de l’espèce… ou alors s’agit-il de sauver l’espèce des hommes riches ? JSCOB…?

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