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Attaque en règle contre LFI et le PS comme il y eut une attaque en règle contre le syndicalisme. Qui ne se radicalise pas quand ses idées ne sont pas écoutées et jamais prises en compte ?


La victoire actuelle en politique reste au niveau des victoires militaires qui contenaient le ferment des guerres suivantes, au motif que : "Il a perdu. Il n'a pas son mot à dire."


Sachons réfléchir aux conséquences de tels comportements qui, en d'autres temps, se traduisaient souvent en massacre dans l'espace public.

La question est posée ironiquement dans le fil de commentaires de ce que serait un "intellectuel de gauche" ? Effectivement, quand le référentiel admis de société s'avère être celui du libéralisme, il devient "stérile" de développer une pensée qui soit purement de "gauche". Mais c'est oublier que notre société n'est qu'une construction intellectuelle que certains appellent "civilisation" et qui ne fait que passer, destinée à s'effondrer un jour ou l'autre du fait de ses propres excès.


Je pose alors la question de ce que serait un "économiste" ? Ce dernier gagne sa vie parce qu'il réfléchit dans le référentiel économique actuel : celui de l'économie de marché libérale. S'il en sort, c'est pour mieux y replonger (le fameux changement de type 2). La religion actuelle est centrée sur le libéralisme. On en vit toutes les conséquences.

Le libéralisme ne peut pas être régulé à l'échelle d'une planète. Par nature, ces capitaines cherchent à se soustraire au souhait de la majorité : cela tombe bien, la majorité ne saurait pas ce qu'elle veut et on fait tout pour qu'il en soit ainsi (censure, niveau d'éducation en baisse,...).


Le paquebot du libéralisme est lancé sur son aire. Il y a ceux qui continuent à faire la fête, ceux qui voudraient les rejoindre, ceux qui profitent du spectacle et réussissent à chiper un verre et un morceau de gâteau, et ceux qui voient la digue approcher. JSCOB...?

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