Ou encore : vers la généralisation des Gilets Jaunes.
Le mouvement des Gilets Jaunes a été un mouvement spontané d'une partie de la population qui ne pensait pas qu'un jour, au vu de sa situation financière, elle en arriverait là. Il s'agissait déjà d'une question de baisse du pouvoir d'achat et non de la revendication d'une catégorie socio-professionnelle.
Le cadre moyen (et le retraité) venait de prendre conscience de son glissement vers la pauvreté.
La seule réponse du gouvernement a été la violence, les chèques, le déni, le rapport de forces.
Heureusement que quelques têtes se sont dégagées car les politiciens sont devenus insensibles aux mouvements de fond dans la population qui sont des faits politiques. Ils en nient la nature réelle ou, tout simplement, ils ne la comprennent plus. Un Charles de Gaulle ou un Chirac l'aurait tout de suite compris.
Les politiciens actuels n'ont plus le sens politique. Seule leur carrière importe.
Ils veulent se comporter comme des chefs d'entreprise, à commencer par notre PR. Or un pays n'est pas une entreprise. JSCOB...?