https://www.facebook.com/rlaffont/videos/1697625950292765/?t=118 Christine Kherdellant « le suicide du capitalisme ».
L’enjeu sociétal consiste à permettre à chacun de trouver sa place et de tirer du fonctionnement du groupe un équilibre personnel qui se traduit dans un monde idéal par la réussite et le bonheur. A défaut de parvenir à ce résultat individuel, il faut que l’évolution de la société ne se fasse pas aux dépens de l’individu.
Dans un monde idéal, il faudrait s’organiser et agir en cohérence avec le concept suivant : à chacun selon ses besoins, de chacun selon ses moyens. Comment faire vivre ce concept dans un contexte mondial concurrentiel et englué dans la forme dure du capitalisme qui confine aux situations de guerres conventionnelles génératrices de drames humains, de catastrophes écologiques et environnementales.
Une utopie à balayer est l’accomplissement individuel en dehors du groupe. Il reste la notion de groupe.
Un groupe doit s’organiser. Il le fait selon trois principes : l’appartenance, la hiérarchie, le donner recevoir.
Le facteur humain est la donnée aléatoire par excellence dans le fonctionnement de tout système qui y recourt. Les Anglosaxons vont jusqu’à dire que l’humain est dysfonctionnel dans les process. C’est de l’intelligence faite connerie. Le capitalisme ne s’intéresse pas à l’homme mais uniquement à ce qui lui rapporte. Il est donc antisocial et, par extension, antisociétal. JSCOB…?