https://fr.wikipedia.org/wiki/Macro%C3%A9conomie
On assiste à ce mélange des genres entre le métier des banques celui des assurances. Ce sont des métiers liés principalement à la gestion de l’argent. L’intérêt des responsables étant focalisé sur l’accroissement du volume financier, la raison d’être devient le moyen et l’accroissement des actifs devient la fin donc le métier.
Au résultat les deux métiers finissent par se substituer l’un à l’autre : les banques font de l’assurance et les assurances font du placement. Depuis quelques années, tous ces acteurs de la finance veulent de plus, à leur tour, vendre du service. Une volonté de revenir dans le monde réel ou juste de diversifier les sources de profit ?
Les volumes d’argent gérés à haut niveau par les grandes entreprises alimentent les flux financiers et réciproquement s’agissant des fonds d’investissement et des banques. La règle et l’objectif communs sont devenus le profit et des constructions se font sur de l’argent et non sur du réel. Des bulles se créent et finissent par exploser. La mondialisation est l’excuse la plus simple donnée pour justifier ce phénomène destructeur récurrent.
Même si tout ceci reste encore assez confus, le citoyen qui met un bulletin dans l’urne s’interroge. S’il est chômeur, il subit une deuxième fois l’impuissance de ses choix « politiques ». JSCOB… ?