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L’introduction des robots dans le monde du travail relève de la même logique qu’UBER. Entre le dirigeant et le service, il y a le robot. Entre le dirigeant et le service UBER, il y a une application. Demain le chauffeur UBER sera un robot.

L’homme qui veut faire du profit exploite ou écarte, ou finit par écarter l’homme. L’homme devient une contrainte face à la marge financière et à l’exigence de performance. Il est devenu une ressource. Il devient un coût. En dépit de cela, le discours officiel, qui s’apparente à un discours politique voire religieux, parle toujours de « richesse ».

Robotisation, uberisation : Pas de management de l’humain, de droit du travail, d’absentéisme, de sexisme, de discrimination, de charges patronales, de syndicats,… Les dirigeants en recherche intense de profits ne sont majoritairement ni des philanthropes ni des humanistes.

La robotisation et l’uberisation sont donc, pour eux, des opportunités à saisir donc à développer. JSCOB…?

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