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https://unphilosophe.com/2017/03/27/entretien-avec-mark-alizart-linformatique-est-notre-nouvelle-ontologie/

Suite de l’article paru le 26 octobre 2019

La Nature (en fait l’Evolution) règne en maîtresse. Je ne conçois rien qui puisse exister en dehors de la Nature et personne ne le sait et ne peut prouver qu’il existe autre chose. Ce n’est pas une question de perception mais de croyance face à l’inconnu. Plus la science avance, plus la religion recule mais il restera toujours une « zone » inconnue dans laquelle pourra se placer le concept de « Dieu ».

Nous ne percevons pas les « atomes » mais ils existent. L’expérience le (la confirmation du modèle) prouve de manière répétitive et à volonté. Tout le monde pourrait faire l’expérience des atomes avec des explications. Rares sont ceux qui font l’expérience des âmes et de Dieu. Nous avons inventé les médiums : nous avons trouvé une utilité à leur comportement (leur « don » ?) ou est-ce l’inverse ? Des âmes choisissent de se manifester de manière autonome dans des lieux hantés. Des âmes se réincarnent ou s’incarnent puisque la population augmente. Le marché de l’âme est florissant sur une Terre où nous ne sommes que de passage.

Nous ne percevons pas les âmes, mais nous les percevrions de temps en temps, quand elles le « veulent » (ou bien sont-ce ceux qui les perçoivent qui le veulent ?). Si j’avais un chien, il ne percevrait rien.

Einstein aurait écrit : « Dieu = la nécessité issue de la simplicité logique ». C’est curieux, ma simplicité logique ne me conduit pas à Dieu ou alors Dieu est le fond de l’impasse qui constitue le bout du bout de nos raisonnements, même les plus simples pour ne pas dire simplistes. Il constitue donc leur conclusion unique, comme on dit « tous les chemins mènent à Rome », ce qui constituerait peut être une autre expression de ce constat.

Si Dieu avait été une femme, j’y aurais peut-être cru. JSCOB…?

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